Pise : la libération
Enfin, j'ai réussi à échapper à Vladimir Bukolic, j'ai pu le laisser choir dans la campagne d'Empoli pour m'enfuir à Pise...
Pise! La ville à la magnifique cathédrale dont tout le monde se fout car elle a le malheur de se trouver près de la tour penchée. La ville au goût de liberté retrouvée.
J'arrive donc à la gare. Enfin je peux me mouvoir librement, je m'en vais marcher tranquillement sur les quais du fleuve Arno, je vais et viens sans soucis.
Et pourtant, malgré la beauté de la ville, ses nombreux monuments, quelque chose me manque : la ville semble tellement vide en l'absence de l'immense connerie de Vladimir Bukolic!
Pise! La ville à la magnifique cathédrale dont tout le monde se fout car elle a le malheur de se trouver près de la tour penchée. La ville au goût de liberté retrouvée.
J'arrive donc à la gare. Enfin je peux me mouvoir librement, je m'en vais marcher tranquillement sur les quais du fleuve Arno, je vais et viens sans soucis.
Et pourtant, malgré la beauté de la ville, ses nombreux monuments, quelque chose me manque : la ville semble tellement vide en l'absence de l'immense connerie de Vladimir Bukolic!