Pise : la libération

Publié le par Schlüssellügt

 Enfin, j'ai réussi à échapper à Vladimir Bukolic, j'ai pu le laisser choir dans la campagne d'Empoli pour m'enfuir à Pise...
 Pise! La ville à la magnifique cathédrale dont tout le monde se fout car elle a le malheur de se trouver près de la tour penchée. La ville au goût de liberté retrouvée.

 J'arrive donc à la gare. Enfin je peux me mouvoir librement, je m'en vais marcher tranquillement sur les quais du fleuve Arno, je vais et viens sans soucis.
 Et pourtant, malgré la beauté de la ville, ses nombreux monuments, quelque chose me manque : la ville semble tellement vide en l'absence de l'immense connerie de Vladimir Bukolic!

Publié dans Ivébisme

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
V
C´est ce qu´on appelle un carnet de voyage fourni. Schlüssellügt, vous faites de plus en plus dans la littérature. Vous êtes dans la droite lignée des Laurent Joffrin pour vos écrit!  Heureusement, completementalest.over-blog.fr remet un peu de lettres dans ce périple italien.
Répondre
S
<br /> Il est certain, cher IVB, que nos deux styles sont complètement différents. Tout le monde ne se plaît pas à railler de manière douteuse l'accent italien pour permettre de se placer dans la lignée<br /> des politiciens "complètement à droite" (je comprends mieux maintenant le choix du nom de votre infâme blog). Je constate aussi que la modestie vous est étrangère!<br /> <br /> <br />